Adam Ondra : sublimer la douleur en plaisir !
Il s’est attaché les services de Patxi Usobiaga pour encore progresser et franchir de nouvelles barrières…
Cette vidéo diffusée par Epic-tv nous présente la vie quotidienne d’Adam Ondra, finalement assez peu montrée jusqu’à présent.
Comme on peut aisément s’en douter, celle-ci est rythmée par l’entraînement qui occupe une place prépondérante, en moyenne 6 jours par semaine.
C’est la facette « entraînement de la force » qui est mise en avant dans la vidéo, d’abord sur le pan Güllich, un outil fort apprécié par Adam, puis sur le pan, avec le travail en bloc.
On est loin des poncifs : sacrifice, blablabla, privation, blablabla que véhiculent souvent ceux qui – justement – ne s’entraînent pas. Et si dans ce témoignage d’Adam, on mesure bien que l’entraînement à haut niveau recèle souvent une grande pénibilité, on comprend aussi ce qui constitue assurément une des clés de sa réussite : savoir sublimer la douleur en plaisir !
Je ne pense pas que l’utilisation de sublimer ait du sens dans votre titre. On ne sublime pas quelque chose en une autre chose (mis à part dans le cas très précis de la chimie peut être). Voir l’article de l’encyclopédie universalis sur le sublime.
Comme on dit qui aime bien châtie bien, vous restez le média le plus intéressant sur l’escalade à l’heure actuelle pour moi!! 🙂
Si faute il y a, je ne suis pas le premier : « entre les deux amies, l’attachement sensuel peut se sublimer en sentimentalité exaltée. » Simone de beauvoir, le deuxième sexe, tome 2, page 362.
Merci en tout cas pour votre commentaire !
Merci pour la vidéo.
J’aime beaucoup Adam. Il partage volontiers son expérience et ses souffrances. Il vit l’escalade comme une vraie passion, bien au delà de la compét.
J’ai vu le film « Change » ( http://www.change-movie.com/about/adam-ondra ) qui est vraiment très éclairant sur sa personnalité (et 2 heures de pur plaisir pour les yeux !)