Pourquoi souscrire une assurance pour grimper ?
Le nombre de pratiquants ne cesse de croître, à la faveur du développement des salles privées. 77% de ces grimpeurs ont découvert l’activité depuis moins de 5 ans, bien souvent hors du giron fédéral. Ils pratiquent donc sans assurance. Or, lorsqu’ils grimpent en salle, ils ne sont pas à l’abri d’une blessure ou d’un accident. De même lorsqu’ils décident d’aller en extérieur pour découvrir la falaise à la faveur des ponts du printemps. Et vous, au fait, êtes-vous bien assurés ?
Pourquoi souscrire une assurance pour grimper, en cas de dommages corporels ? Le développement de l’escalade en France ces dernières années a été phénoménal. Et ce n’est pas fini. Pour l’année 2022/2023, ce sont environ 35 nouvelles salles qui devraient sortir de terre. L’escalade est dans le Top 3 des activités débutées par les français lors de la période Covid.
En fait, on estime à quelques 10 millions le nombre d’entrées sur l’ensemble des salles privées en France sur l’année 2022. Or la grande majorité des grimpeurs qui pratiquent dans ces structures n’ont pas de licence. Par conséquent, ils ne bénéficient pas toujours d’une assurance en cas de dommages corporels. Par la suite, lorsqu’ils grimpent en extérieur, ils ne sont pas couverts non plus…
La solution : Assur Connect, un courtier spécialisé dans l’assurance pour les sportifs, qui met en place une assurance dommages corporels destinée à tous les non-licenciés. Assur connect couvre les grimpeurs, mais aussi beaucoup d’autres sports, plus de 250 en tout. L’intérêt est aussi d’être couvert, lorsque l’on va pratiquer en extérieur. On peut choisir une assurance à l’année ou seulement pour un ou deux jours, lorsqu’on programme un week-end en falaise.
Pourquoi souscrire une assurance Assur connect pour les dommages corporels ?
Assur Connect est un courtier 100% digital. La souscription est simple et hyper rapide. Cette assurance pour l’escalade propose des garanties fortes. En effet, elle peut couvrir de 1 à 6 personnes sur un même contrat, pour des activités et des périodes variables. Par exemple, 1 jour, si vous venez juste faire une séance de découverte à la salle ou une journée en falaise. Mais aussi 7 jours, si vous partez faire un petit voyage de grimpe en extérieur. Ou encore à l’année, pour une couverture maximale, dans toutes vos activités verticales.
Souscrivez votre assurance :
Les principales garanties du produit :
- Remboursement de l’abonnement en cas de blessure (au prorata temporis, plafonné à 200 €)
- Frais de sauvegarde et frais de sauvetage.
- Assistance rapatriement.
- Couverture en cas de dommage causé à un tiers.
- Frais médicaux, chirurgicaux et pharmaceutiques.
- Aménagement du domicile et du véhicule en cas d’accident.
- Assurance décès et invalidité.
Jusqu’à 200 euros de remboursé sur votre abonnement
Bref, Assur Connect rembourse ce que les organismes habituels ne remboursent pas sur les frais médicaux, chirurgicaux et pharmaceutiques. De plus, le dispositif intègre aussi des compensations financières en cas de décès accidentel, infirmité permanente totale ou partielle, assistance rapatriement, RC vie privée, indemnité journalière en cas de coma… On n’a pas forcément envie d’y penser, mais quand ça arrive, c’est bien d’être couvert.
En outre, petite cerise sur le gâteau : pour les membres abonnés à l’année dans une salle, Assur Connect rembourse l’abonnement en cas de blessure entrainant un long arrêt de la pratique, au prorata temporis avec un plafond de 200 €. Alors ne faites pas sauter la banque en cas de blessure ! Protégez-vous pour profiter pleinement de l’escalade !
Encore une illustration de l’exhaustivité de votre site web. Bravo ! (et merci).
Prendre une assurance apparait d’autant plus indispensable que l’escalade est jugée par certaines assurances comme une activité « à risque », et exclue de certaines polices d’assurance de contrat de prêt. C’est mon cas concernant une assurance « Swiss …. ».
Le déconventionnement des falaises et la tendance à élargir les falaises, pourtant équipées, classées en « terrain d’aventure » risque de diminuer les possibilités d’être indemnisé en cas de pépin.
Le mieux est probablement d’être licencié -à une fédération j’entends- et de lire son contrat ‘assurance de base (si si ça se fait) pour savoir si le type d’escalade pratiqué est bien pris en charge (il peut y avoir des limitation sur l’altitude ou sur la zone géographique notamment), et si les garanties allouées correspondent bien à notre besoin de financement si on ne peut pas travailler sur une certaine période.
Dans la foulée, pour les travailleurs indépendants, on fait un saut dans son assurance pro afin de savoir si l’escalade n’est pas exclue de la garantie…Par exemple, si le terrain d’aventure est exclu et que l’on grimpe sur une falaise équipée mais classée en « terrain d’aventure » par la FFME, la prise en charge d’un accident par l’assurance sera incertaine.
Bien cordialement.